19/04 > 31/05/18
Nouvelle création pour le Théâtre de la Toison d’Or dans laquelle Nathalie Uffner et Nathalie Penning mettent toute leur créativité culinaire au goût de vos papilles zygomatiques.

Fish & Chips est une comédie légère qui vous entraîne sur le plateau de l’enregistrement d’une émission culinaire. Alors que la coanimatrice du programme vient d’accoucher, il est temps pour la productrice de trouver un nouveau faire-valoir à la présentatrice en chef. Pas facile de trouver une remplaçante lorsque la cheffe est infernale. La productrice du programme décide alors de se sacrifier et d’assurer le remplacement au pied levé.

Le scénario ne serait pas complet si les deux femmes ne se détestaient pas ! Une haine cordiale mais qui met le tournage de l’émission en péril.
Entre sourires d’apparat et guerre de tranchée, Mesdemoiselles Fish (Nathalie Penning) et Chips (Nathalie Uffner) nous mitonnent une mixture délicieusement acide.
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Affiche Fish & Chips – ©TTOtheatre

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9/05 > 30/09/18
L’avènement des réseaux sociaux a redonné vie à la contestation populaire, comme les affiches à la fin des années 60. Si la société a évolué, les problèmes restent les mêmes: écologie, droit des minorités, paix, travail, féminisme.
Get Up, Stand Up au MIMA Museum explore l’univers graphique des affiches crées par les mouvements contestataires de 1968 à 1973. Six années d’une intense agitation politique et sociale, marquées, en France, par les mouvements étudiants et ouvriers de Mai 68, aux États-Unis, par la poursuite des luttes des minorités, les manifestations contre la guerre du Vietnam, la montée du féminisme et de l’écologie et, dans le monde entier, par une aspiration à plus de liberté, d’égalité, de dignité et de justice. « Sois jeune et tais-toi », « Power to the people », « Make love not war », « Black Power » sont quelques-uns des slogans provocateurs mis en image et diffusés par milliers, à la faveur d’une technique nouvelle et rapide, la sérigraphie. Étudiants et artistes inventent un langage visuel universel simple et concis, d’une force expressive inédite.
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16 > 17/05/18
Les Riches-Claires reprennent la pièce 8h03 ce matin-là de Michaël Bier.
Simon, 39 ans, a une obsession… ne rien oublier et laisser une trace. Ce n’est qu’à travers le regard des autres, qu’il parvient à se sentir vivant. Et en premier lieu, à travers celui de Gaëlle, qui partage sa vie et ses angoisses.
Pour être certain qu’on se souvienne de lui et de nous laisser quelque chose, Simon enregistre tout. Il capte avec ses caméras, classe et revisionne quotidiennement tout ce qui lui arrive, à lui et à ses proches. De l’essentiel jusqu’à l’insignifiant.
Une question se pose : peut-on être, en même temps, acteur et spectateur de sa vie ?

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Polka présente William + Klein, une monumentale fresque photographique composée de 90 tirages relatant les chapitres décisifs de l’oeuvre de Klein. De ses abstractions de lumière (1948 – 1952) à ses photos de mode (1958-2000) en passant par ses lms, ses pérégrinations à New York (1954-55), Rome (1956), Moscou (1959), Tokyo (1961) mais aussi Paris, sa ville d’adoption, l’accrochage traverse 70 ans de carrière.
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24/01 > 21/05/18
Des années 1950 aux Jeux Olympiques de Moscou [1980], Soviet Design. Red Wealth est la première rétrospective consacrée à la production design, tant matérielle que graphique, de l’URSS au siècle dernier.
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Soviet Design. Red Wealth – ©Adam

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29/05 > 16/06/18
En prémisse de la Coupe du Monde de football et de la tonne de testostérone qu’elle nous réserve, la compagnie Thor (Thierry Smits) part à la recherche du féminin qui se cache en chaque homme, avec sa nouvelle création : WaW! [We are Woman]. À travers un parcours ludique et libératoire, onze hommes, d’abord cernés par les clichés de la virilité, voyagent du vestiaire de foot au sabbat de sorcières et trouvent une sortie de secours : leur féminité. Ils se dépouillent des gestes et de l’attirail de la masculinité pour explorer un « devenir-femme », sans toutefois jouer avec les artifices du travesti. Chacun peut trouver sa femme, comme on dit trouver son clown, et inventer son double féminin. La belle équipe explore plus particulièrement l’image transgressive de la sorcière, création masculine à l’origine, aujourd’hui réinventée par les femmes.
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