CRITIQUE : Their Finest de Lone Scherfig

Avec Their Finest, Lone Scherfig nous raconte le monde du cinéma anglais en pleine seconde guerre mondiale. Les événements se déroule à Londres. Presque tous les hommes sont partis se battre au front, Catrin Cole (Gemma Arterton) décroche un emploi de copywriter pour des films de propagande qui ont besoin d’une touche féminine. Son flair naturel est rapidement remarqué par le prolifique producteur de films Tom Buckley (Sam Claflin). Pour remonter le moral du pays, Catrin et Buckley doivent réaliser un long métrage qui réchauffera le cœur de la nation.

Bien évidemment, ce duo ne finira pas sans sentiment l’un pour l’autre mais, malgré les bombardements incessants, Catrin découvre qu’il existe autant de drame, d’humour et de passion derrière que devant la caméra.

Their Finest décrypte donc le scénario idéal pour faire vibrer un public et, malheureusement, vous ne vibrez guère durant la projection. Au contraire, vous serez peut-être – comme moi – énervé par un événement dramatique et idiot.
Outre cette déception, ne vous privez pas de voir le talent de l’excellente Gemma Arterton que l’on avait aimé dans Gemma Bovary ou encore dans Tamara Drew.

Affiche du film Their Finest de Lone Scherfig

Sortie en salle : 17 mai 2017 (Belgique)

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